Introduction
François-Charles-Marie Fourier, penseur socialisme du XIXe siècle a dit à une telle ou telle occasion : « Le degré de la libération de la femme sert de règle pour mesurer le progrès de l'humanité» . Néanmoins, la première condition en est la participation de la femme au travail social. Dans son oeuvre intitulée « La famille, la propriété privée et l'origine de l’Etat », Friedrich Engels a fait remarquer, lui aussi, que l'autonomie économique est la condition préalable pour que la femme obtienne le statut et l’indépendance dans le domaine social. Il a notamment précisé que « La première des conditions préalables à la libération de la femme est le retour de la femme au travail public». Ainsi la femme ne pourra-elle établir la dignité et la valeur personnelles que dans le travail public. Aujourd'hui, nous pouvons dire que la situation de l’emploi féminin est la règle pour mesurer le développement de la coordinnation sociale et le progrès complet de la société. Dans la condition économique globale, le développement que nous poursuivons est le développement coordonné et le progrès pour lequel que nous luttons est le progrès complet de la société. Or, le développement et le progrès expulsant la plupart des femmes hors de la grande armée d'employés, ne peuvent pas être appelés le développement coordonné et le progrès complet, juste comme certains considèrent une démocratie politique sans femme comme déficit de la civilisation. Cependant, l’adhésiion de la Chine à l'OMC présenterait des occasions assez vagues en faveur de la femme chinoise en ce qui concerne l’emploi, mais elle devrait faire face au défi qui est réel et sévère. Et la situation sociale de la femme se situe juste dans un état de confrontement sérieux. Nous devrions donc avoir l’esprit lucide face aux influences sur l’emploi féminin en Chine à la suite de l’adhésion à l'OMC et adopter ainsi une stratégie efficace et valable à cet égard.